Ballade irlandaise...

Ballade irlandaise.

Je marche seul sur le sol d’Irlande.
L’herbe coule l’eau d’un crachin de pluie.
Et je compte les pierres de la lande
En regardant les nuages de ce ciel, car j’y suis….

Derrière le vent qui gronde
Me souffle ce sage catholique
Que St Patrick s’est tellement battu contre les anglais.
Que derrière son pays ?
La mer déchaînée, a ouvert l’Océan à l’Amérique.

Et devant l’orage qui s’annonce, je regarde le ciel.
En écoutant les histoires de leurs cœurs celtiques.

Et mon cœur qui vole au vent du tien
Et mon âme qui bruine l’absence de tes mains.
Je voudrais te voir, ma blanche cavalière
En galopant sur le sol de l’ennemie de la rose d’Angleterre…

Mais je marche seul sur tes pierres de silence.
Le prêtre de cette modeste paroisse gaélique
Me souffle à l’oreille que tu es mon espérance.
J’admire ces nuages mélangés
Et voila que j’aperçois ton visage d’ange….

Derrière les falaises qui s’opposent à la mer d’Atlantique
J’entends encore les mots de ce druide patriotique.
Ses mots qui disaient que Cromwell n’aurais jamais du envahir cette terre de catholicisme, dont les églises on su fermer leurs portes au protestantisme.

Et mon esprit qui mélancolise tes légendes mystiques.
Et ma voix qui te sonne des cornemuses de je t’aime tant.

Je voudrais te voir, ma cavalière aux destriers d’argent.
Ensemble, nous pourrions marcher vers ce vert pays qui refuse d’être colonie britannique.

Mais je marche seul aux confins de ces pubs de whisky.
Et voila qu’un blanc fantôme me prononce « Nadia ».
Et d’une voix d’un autre monde ;
Il nous dit que ce manoir de vertes prairies nous y invite.
Mais attention !
Là bas ce n’est pas le royaume uni !

Je sens quelque chose
Quelque chose de fort.
Quelque chose que m’apporte cette rivière irlandaise.
Comme un amour de pierre dont se parlent ces boucles anglaises
Aux sentiments de proses rythmées par ce ménestrel armé, d’un sablier de temps

Puisque, auparavant, existait le temps….

Et mes vœux harmonisent les couleurs de ses contrées.
Et mon souhait de bercer tes lèvres de café au thé

Oui, je voudrais vivre éternellement aux côtes de ta vie.
Comme d’ailleurs

Ce sage irlandais me l’avait prédît.

Ce texte a commencé,

Il ne sera jamais fini…..

Cet écrit est un trèfle de légende que nous vivrons sur cette terre d’Irlande.

Car tu es leur reine…………………. Lady

Irish coffee kisses…

Christian POULLEIN, 04/02/2007.

Invité

très belle ballade merci bcp LADY

Invité

lady,trés belle histoire Bravo